Je me nomme Gin Ulquiorra Kuchiki et je suis un demi-dieu grec, je suis contre Gaïa et en apparence, j'ai 17 ans. Je suis célibataire ou en couple, quelle importance, tant qu'on s'aime!? et fidèle. A côté de cela, on me qualifie souvent de quelques froid, va droit au but, ne tourne pas autour du pot, manque de confiance en soi et peut paraître anti-social. On peut facilement m'identifier physiquement grâce à mes vêtements noirs et mes cheveux longs, ou encore à cause de cigarettes que j'allume lorsque je suis stressé. Peu de gens savent que ma plus grande peur se trouve être mes "parents", pour peut qu'on puisse les considérer comme des parents, et mon talon d'Achille se trouve être mes frères et sœur, ma sœur jumelle, en particulier.. On me dit souvent que je ressemble beaucoup à l'humain Sugizo.

Etant le fils d'Apollon, j'arrive à apprendre très vite tout ce qui est en rapport avec l'art et la musique.

J'ai également une sorte de pouvoir de "télépathe": lorsque quelqu'un me touche, ou me frôle juste, j'arrive à connaître une partie de son histoire et se qui va lui arriver (c'est pas toujours très drôle!). Et lorsque je suis en train de discuter avec quelqu'un, je sais si la personne me ment ou pas et quelle est la vérité rien quand la regardant dans les yeux.
Je m'explique: imaginons que j'aille faire des courses pour ma mère (ce qui n'est pas près d'arriver, croyez-moi!) et qu'à la caisse, en donnant l'argent pour payer et que mes doigts frôlent ceux de la caissière, je saurais ce qu'elle a vécu durant son enfance, durant son adolescence ou dans sa vie privée actuellement et si, après, ce sera pire ou mieux.
Pour ce qui est de savoir si les gens me mentent ou pas rien quand les regardant dans les yeux, y faut vraiment que je m'étale là-dessus et que je vous explique? Oui? Bon, d'accord, mais c'est bien parce que c'est vous et que je suis gentil: imaginons que je sois en pleine discussion avec ma voisine de palier qui me raconte qu'elle a enfin réussi son gâteau au chocolat alors qu'elle là, pour une énième fois, raté et qu'il a fini à la poubelle et qu'elle continue en disant qu'elle serait ravie qu'avec ma famille on vienne chez elle goûter à son fameux gâteau alors qu'elle ne nous aime pas du tout et qu'elle n'espère qu'une chose: qu'on décide enfin de partir aux Etats-Unis rejoindre mon beau-père et bien, rien quand la regardant droit dans les yeux, je saurais qu'en réalité, son gâteau, elle l'a de nouveau loupé et qu'elle ne veut pas le moins du monde qu'on mette les pieds chez elle.
A ma grande joie (ou a mon grand malheur, d'après ma petite sœur) mes "pouvoirs" ne fonctionnent qu'à moitié avec les demis-dieux: je sais une partie de leur passé en les frôlent mais n'arrive pas à savoir leur avenir et je sais s'ils me mentent ou pas mais je n'arrive pas à savoir la vérité.        

Ulquiorra, Roxy, Ulqui', Siam, Sisi, Inti, 'tisar, Intisar
17 ans en novembre
Féminin
Lire, écrire, écouter de la musique, faire du cirque
A première vue, il a l'air bien!
Valider par Aphro' !

Ma mère, Amasa, est née à Tokyo, il y a trente-six ans.
Ma mère, tout comme moi après elle et le reste de sa famille avant nous, a grandi dans la maison familiale des Issina, un peut à l'extérieur de la capitale Japonaise.
Sa mère, Ai, est décidée d'un cancer des poumons lorsqu'Amasa avait douze ans. Mon grand-père, Ayumu, était un riche homme d'affaires Japonnais dont la réputation passait avant tout, la mort d'Ai qui l'aimait comme moi je peux aimer Gina, ma jumelle, ne l'a donc pas plus affecté que ça. Avant la maladie de ma grand-mère, ma mère était une personne joyeuse qui aimait la vie, malgré l'absence du père qui était souvent à l'étranger pour son travail. Depuis qu'Ai est morte et qu'Ayumu a presque renié sa fille en l'envoyant dans un pensionnat en Amérique, Amasa perdit toute joie de vivre et se replia sur elle-même.

Une fois qu'elle eut dix-huit ans, elle décida de faire payer à son père de l'avoir interné: elle commit l’adultère avec le premier bel étranger qui lui faisait la cour: Apollon, mon géniteur.
Six mois après leur rencontre, ma mère tomba enceinte.
Ayumu, fou de rage que sa fille se retrouve enceinte si jeune, ne voulu plus entendre parler de mon père qu'il estimait pourtant beaucoup et fit pression sur ma mère pour qu'elle avorte ou qu'elle abandonne l'enfant à la naissance mais elle n'en fit rien. Mon grand-père qui travaillait beaucoup trop finit par mourir d'une crise cardiaque un mois avant notre naissance, à Gina et moi. Je n'ai donc jamais connu aucuns de mes grand-parents.

A à peine dix-neuf ans, Amasa se retrouvait seule avec à sa charge, non seulement ses deux jumeaux nouveaux nés à élever, la direction de l'entreprise de son père.
Ce fut le meilleur ami de mon grand-père qui se chargea de l'entreprise le temps que ma mère mette un peut d'ordre dans sa vie.
Ma mère n'allaitera ni Gina, ni moi. Pas plus qu'elle n’allaitera Hiroko, Hinata et Amako, nos demis-sœurs et demi-frère de trois, cinq et sept ans nos cadets.
J'avais une année quand ma mère a épousé Buichi, mon beau-père.
Buichi à reprit les affaires de mon grand-père, à la demande de ma mère.
Buichi ne nous a jamais vraiment apprécié, Gina et moi, pas plus que notre mère, d'ailleurs, bien qu'ils nous ai gardé avec eux et que Buichi nous ai adopté.
La seule personne qui nous a toujours donné son amour et qui nous a toujours apprécier à notre juste valeur, c'est le vieil intendant de la maison, ainsi que sa femme, la gouvernante.
Mon beau-père est plus souvent en Amérique qu'au Japon, avec nous, et, quand il est là, il passe son temps à boire des bières, devant la télé. On a pas intérêt à le déranger, quand il est là, où on a droit à des coups de ceinture ou on est envoyé dans notre chambre jusqu'au lendemain sans manger. Il a d'ailleurs été ravi lorsque, avec Gina, je suis parti pour la colonie des sangs-mêlés, il y a dix ans, vu qu'il avait plus les deux gamins bâtards de sa femme dans les pattes aussi souvent que d'habitude vu que nous sommes rarement au même moment à la maison familiale au Japon. D'ailleurs, lorsqu'il est au Japon, il ne fait que se plaindre que le Japon, par à port aux Amériques, c'est beaucoup trop loin et qu'il passe beaucoup plus de temps en avion qu'à faire autre chose, mais ma mère ne veut pas vendre la maison de sa famille pour partir vivre en Amérique et elle veut garder un œil sur les affaires de notre famille qu'il y a dans son pays. Très sincèrement, moi et Gina aussi, ça nous arrangerait, qu'on vive en Amérique, ce serait plus simple, quand la colonnie des sangs-mêlés nous laisse rendre visite à nos familles. Mais bon, c'est notre mère, elle est comme ça, bornée, et on peut difficilement lui faire changer d'avis...

Dans ma vie, il n'y a pas que des moments de malheurs. Je suis très proche de Gina, de mes deux demis-sœurs et de mon demi-frère, on se dit tout. On aime bien rendre fous notre mère, même si on sait qu'on se fera, à un moment ou à un autre, taper sur les autres, pour notre "manque de respect". Mais ça nous amuse bien, de la rendre chèvre.
Au Japon,j'ai aussi une bande d'amis avec laquelle j'aime bien traîné. Quand je suis avec eux, j'ai tendance à découcher sans prévenir mais pour le peux de fois où je suis dans mon pays et que je peux voir mes amis, on peut pas mon vouloir, si?
Et au milieu de tout ça, il y a Izuru. Izuru, mon... "copain". Oui, parce que, j'ai oublié de vous le dire, je suis gay. Peut de gens le savent. A pars mes frères et sœurs et mes amis Japonnais, je crois que personne n'est au courant. Même avec Izuru, je n'ai pas énormément de contact physique mais il ne demande pas grand chose et il sait, pour mon pouvoir, donc il ne m'en veut pas trop.
J'ai aussi un chat noir aux yeux verts, Diablo, qui me suit partout, depuis que je l'ai soigné, lorsqu'il n'était qu'un chaton, il y a sept ans. Je ne comptais pas le garder, au début, mais cette toute petite boule de longs poils essayaient de me suivre partout et il était tellement mimi que j'ai fini par le garder.
J'adore aussi être à la colonie des sangs-mêlés car, même si, contrairement à ma sœur qui a réussit à se lier à certains demis-dieux, je n'ai aucuns amis à proprement parlé, je n'ai pas constamment des visions sur les futurs des gens qui me frôlent et je ne sais pas réellement se qu'ils pensent, vu que je n'ai pas non plus de visions sur leurs véritables pensées, et ça, ça me fait un bien fou!    

Ayant grandi au Japon, j'ai appris les arts martiaux et j’adore manier le sabre.